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<red-tag-blog>L’erreur<red-tag-blog>
« Cette jeune actrice est devenue la <underline-red-blog>favorie<underline-red-blog> des Français en très peu de temps. »
Vos passe-temps favoris ? Le cinéma et la construction de maquettes. Ou peut-être plutôt le jardinage. Enfin, votre occupation favorite reste la sieste, au soleil, sans avoir rien à faire ni à penser. A propos de réflexion, faut-il écrire et dire favorie ou favorite ? Lisez vite cet article avant de replonger dans un demi-sommeil bienheureux.
Les questions d'orthographe reviennent régulièrement ? Vous voulez vous en débarrasser une bonne fois pour toutes ? Venez découvrir nos formations 100% en ligne ; vos siestes n'en deviendront que plus paisibles !
Et n’oubliez pas le quiz à la fin de l’article pour vérifier si vous avez bien compris la règle d’orthographe !
<green-tag-blog>La solution<green-tag-blog>
Favorie ou favorite ?
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<light-green-tag-blog>Un exemple pour tout comprendre<light-green-tag-blog>
« La lecture est une de ses distractions favorites. » ➝ « La lecture est une de ses distractions préférées. »
<light-green-tag-blog>L’astuce pour tout retenir<light-green-tag-blog>
Gardez en tête l'italien « favorita ».
<black-tag-blog>Citations<black-tag-blog>
Paroles d’écrivains
« En ce moment la camérière favorite de Mme la baronne Danglars entra. »
- Le Comte de Monte-Cristo, tome 1 (1846), Alexandre Dumas père, écrivain français
« Ma tante Cora, qui était ma confidente favorite. »
- Climats (1928), André Maurois, romancier, biographe, conteur et essayiste français
« J'entendis les aboiements du chien favori d'Arabelle. »
- Le Lys dans la vallée (1836), Honoré de Balzac, écrivain français
« Il fut le favori de sa mère et de ses professeurs. »
- Mémoires d'une jeune fille rangée (1958), Simone de Beauvoir, philosophe, romancière, mémorialiste et essayiste française
« Dis donc, explique-moi... pourquoi la cote de ta pouliche monte-t-elle ? ça fait un boucan ! Il tressaillit, il laissa échapper : Ah ! ils causent... quelle race, ces parieurs ! Quand j'ai un favori, ils se jettent tous dessus, et il n'y en a plus pour moi. Puis, quand un outsider est demandé, ils clabaudent, ils crient comme si on les écorchait. »
- Nana (1880), Émile Zola, écrivain et journaliste français
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